Zuckerberg gagne de l'argent avec WhatsApp, pas avec Meta

Mark Zuckerberg considéré pour l’instant l’application de messagerie WhatsApp comme plus importante que la plate-forme Meta, en tous cas pour la partie finance. En effet, Meta est our l’instant un gouffre, mais le patron de Facebook reste confiant pour l’avenir.

Whatsapp est rentable, Meta pas encore

Les deux étaient considérés comme des actifs distincts par Zuckerberg, qui considérait le premier comme une aubaine financière. Après que Meta ait licencié 11 000 employés, le PDG a qualifié les plates-formes de messagerie créées par son entreprise de “prochain pilier majeur”.

Une séance de questions-réponses avec les employés l’avait amené à commenter cela. Peu de temps avant cela, il a déclaré que la suppression de 11 000 emplois par Meta leur montrait qu’ils essayaient de réduire leurs dépenses. Mark Zuckerberg a cité les salaires des employés comme la plus grosse dépense de l’entreprise. Suite à cela, il a expliqué que les frais de publicité sont les prochains sur la liste. Cela aide les gens à comprendre pourquoi l’entreprise a récemment réduit de 20 % les effectifs de Meta. Cependant, cela ne traite pas des 20 % environ des dépenses de Reality Labs qui vont à Meta.

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Meta est un gouffre, pour l’instant

En décembre 2017, Meta a signalé une perte de 9,4 milliards de dollars sur cet investissement dans Reality Labs. Continuez à lire en cliquant sur l’annonce. Mark Zuckerberg pense que Meta peut éventuellement générer des bénéfices. Compte tenu des besoins financiers de Mark Zuckerberg, WhatsApp semble être la meilleure option pour qu’un sauveur financier apparaisse de nulle part.

En 2011, Mark Zuckerberg a suggéré qu’ensuite, pour WhatsApp, l’entreprise devrait monétiser son application de messagerie. Bien que l’application soit puissante et dispose d’une interface épurée, Zuckerberg pensait que l’entreprise pourrait encore s’améliorer en ajoutant encore plus de fonctionnalités sans aucune nouvelle publicité.

WhatsApp est clairement l’entreprise la plus interessante, ne serait-ce que pour sa vaste liste d’utilisateurs, et Zuckerberg doit commencer à gagner de l’argent s’il veut empêcher ses actionnaires de se révolter.

Fin 2013, WhatsApp rassemblait environ un quart de la population mondiale en tant qu’utilisateurs. En tant qu’option de communication sécurisée toujours disponible sur les marchés traditionnels, beaucoup choisissent d’utiliser WhatsApp malgré son potentiel de monétisation. Certains montrent même une résistance à toute forme de monétisation sur l’application. Les investisseurs sont nerveux à propos du scandale de Cambridge Analytica, du dévouement continu de Mark Zuckerberg au projet et de ses autres actions douteuses.